Compte à rebours vers l’ere Lisarchique
Je profite de l’édition de cette nouvelle écrite par mon esclave Winter Sub, à mi chemin entre réalité et fiction, pour vous souhaiter, à T/toutes et T/tous, une excellente année 2022.
Et je m’adresse particulièrement aux subs, qui, je crois, sont assez dévots aujourd’hui pour basculer dans l’ère lisarchique en douceur ou, comme à l’accoutumée, sous de perpetuelles jérémiades :
Bonne Année à vous, les subs, et que s’ammorce en 2022, un dessein lisarchique 👌
C’est donc votre première visite au donjon de Maîtresse Līsa ? Je vous en prie, entrez, entrez… Permettez-moi de me présenter : Winter Sub, esclave assermenté de la Déesse. Enchanté de vous accueillir en son royaume !
Quelle tempête, n’est-ce pas? Mais je vous comprends, moi non plus je n’aurais pas manqué ces festivités de fin d’année pour rien au monde, pensez donc… Figurez-vous que je suis arrivé, il y a quelques semaines, du Québec… Oui monsieur, j’ai traversé l’Atlantique pour venir ramper aux pieds de ma Maîtresse…
Oh, ne craignez rien, nous sommes peu nombreux ici, je vais vous présenter… Tenez, donnez-moi votre manteau… Et votre veston… Et vos souliers aussi… Oui, mettez-vous à nu, c’est la règle pour tous les soumis qui participent aux festivités, Maîtresse Līsa l’exige absolument, allons, ne soyez pas si timide, vous verrez… Votre micropénis vous gêne? Haha, mais voyons, nous sommes tout à fait entre nous ici, et puis mon engin n’est guère plus impressionnant que le vôtre, vous voyez bien… Soyez tranquille, ce n’est pas sur la taille de votre verge que vous serez jugé par la Déesse : si vous avez été invité, c’est que vous possédez déjà quelque chose auquel elle accorde de la valeur, et qu’elle entend exploiter selon son bon plaisir… Faites-moi confiance sur ce point : le format de votre appendice est le cadet de ses soucis…
Suivez-moi ! Je serai votre Virgile en ce jardin des supplices. Par ici ! Nous voici au centre du royaume… Tenez, ce petit homme chauve que vous apercevez là-bas, qui est menotté à la croix de Saint-André, c’est l’esclave de Lady Vélocirapta : sa maîtresse le cravache impitoyablement parce qu’il l’a tutoyée alors qu’elle lui enfonçait son talon aiguille dans le fion… Ce n’est rien, il a l’habitude… Ah! voici Maciste : ce colosse qui sert présentement de table d’appoint est au service de Dona Diotima – je sais, elle est colossale elle aussi (je vous conseille de baisser la voix), oui, oui, une véritable cataracte de bourrelets, j’en conviens, mais Maciste lui voue un culte radical, il la vénère à l’égale d’une divinité préhistorique et il n’attend plus grand-chose de la vie, sinon que le cul pachydermique de sa maîtresse s’abatte sur son visage aussi souvent qu’il est possible…
Allons, ne vous affolez pas pour si peu, le meilleur est à venir, je vous assure, attendez… quelle heure avez-vous?… Nom de Dieu, onze heures 46, déjà ? N’êtes-vous pas ému à l’idée que nous franchirons bientôt le cap de la nouvelle année ici même, dans le Saint des Saints ? Ne mesurez-vous pas votre chance ? C’est de bon augure pour vous, car si la Déesse vous annexe officiellement à son royaume, il ne vous restera plus qu’à souhaiter que les mesures de confinement, pourtant déjà bien sévères, soient durcies et prolongées… Imaginez : ne plus pouvoir sortir d’ici ; vous et moi, mon ami, cloîtrés indéfiniment dans ce donjon, obéissant à jamais aux ordres de la plus belle, de la plus rayonnante, de la plus remarquable domina qui ait jamais foulé le sol de cette terre désaxée…
Je vous trouve bien nerveux, il faut vous détendre… voici une coupe de Sancerre, allez, cul sec… Vrai, la coupe est remplie à ras bord, je n’y vais pas de main morte – chez nous, on appelle ça un verre de cochon, haha –, mais Maîtresse Līsa m’a formellement ordonné d’être aux petits soins avec vous jusqu’à ce qu’elle fasse son apparition, ce qui, ma foi, ne saurait tarder ; elle est présentement retenue dans ses appartements, mais… mais elle arrive… apparaître et disparaître sont d’ailleurs ses plus exquises qualifications… Ne percevez-vous pas les pulsations de son magnétisme ? cette dilatation du temps et de l’espace autour de sa trajectoire ? la déréalisation de votre propre personne au fur et à mesure qu’elle approche ?
Allez, une autre coupe de Sancerre… hoho, on a décroché de sa croix l’esclave de Lady Vélocirapta : elle ne l’a pas raté, le pauvre bougre, mais admirez l’étendue de sa reconnaissance, voyez avec quelle dévotion il engloutit à présent les orteils de sa bien-aimée…
Aaaah vous vous demandez à quoi rime ce dispositif dans lequel mes couilles sont encarcannées ? Je vous explique : cet anneau de métal est l’équivalent d’un pilori qu’il a plu à la Déesse de refermer autour de mon scrotum jusqu’à la commotion de tous les concepts ; les oreillettes qui y sont fixées, à droite et à gauche, sont conçues de façon à ce qu’on puisse y accrocher de minuscules sphères métalliques, mais dont le poids est considérable, j’en témoigne, et dont le nombre peut être accru, selon le bon plaisir de la Déesse, de part et d’autre du carcan. Pour votre information, sachez que si votre scrotum parvient à supporter le poids de 8 sphères, c’est qu’alors la distance est moindre de vos couilles au sol que de vos couilles à votre cul. Il ferait bon hurler, ne vous y trompez pas, mais entre gens de bonne vie et d’agréable compagnie, ce serait pour le moins malaisant… Oui, vous avez raison, il se peut bien que mon scrotum évoque, de loin en loin, la barbe brinquebalante d’un vieux dindon, mais qui suis-je pour oser sonder les pensées de notre souveraine adorée ?
Ah, voici la Déesse accompagnée de son conjoint ! N’est-elle pas renversante avec ses cuissardes sorties tout droit de l’atelier de Vulcain… Attendez… Que dit-elle ? Alors c’est bien vrai ? Vous avez entendu, la nouvelle vient de tomber : les règles de confinement sont resserrées, ordre est donné à tous les citoyens français de demeurer cloîtrés chez eux au moins pour les trois prochaines semaines et… pardon ?… nom de Dieu… tout contrevenant sera fusillé à vue ?… Eh bien, on ne rigole plus…
Alléluia. Il est 23h58, l’année 2022 est à nos portes et nous ne pouvons plus aller nulle part. Mais n’allez pas croire que la dépêche ait le pouvoir de plomber le moral de cette vénérable assemblée. Voyez, déjà la Déesse vous ordonne de vous positionner à quatre pattes au centre du donjon — allez, allez, ne la faites pas languir, faites ce qu’elle vous dit, au diable les 8000 infections de ce jour et les 3000 décès du surlendemain, nous n’avons plus rien à foutre de ces conneries, nous allons tous ensemble passer de l’autre côté du miroir, alors prenez position, voilà, nos invités se rapprochent à présent, ils vous cernent de toutes parts et bien amicalement, je vous explique………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
9 (ah! le compte à rebours!)
……………. vous voici à quatre pattes au centre du Royaume; du coin de l’œil, vous apercevez mes couilles déchaussées qui pendouillent au-dessus de votre tête comme une feuille de gui : vous le savez, la tradition appellerait un baiser en semblables circonstances, mais comptez sur la Déesse pour rénover en profondeur certaines idées reçues………………………………………………………………………………………………………………………….
8 (répétez après moi : LES CHEVEUX DE MAÎTRESSE LĪSA SONT L’ORAGE QUI SURPREND L’ESCLAVE SUR UN CHEMIN DE MORT)
…………….. voici que Lady Vélocirapta enfonce lentement dans votre derrière de jouvenceau un gode d’une noirceur ahurissante. Remerciez-là et modérez vos hurlements. Le safe word? Suis-je bête, je l’ai complètement oublié, celui-là… Ah oui, ça me revient, le safe word est : ENCORE PLUS FORT ! Hmm, voilà qui est fâcheux… on pourrait aisément se méprendre sur vos intentions… Cela dit, sentez-vous bien libre de le hurler à n’importe quel moment, mais faites vite et réfléchissez-bien, car je vois Maîtresse Līsa s’approcher de vous avec un gode d’un rouge intolérable – quel blasphème ambulant ! — et d’un format plus redoutable encore que celui de Lady Vélocirapta, et si je ne me trompe, elle a bien l’intention de vous l’enfoncer dans la bouche, alors pour le safe word, c’est maintenant ou jamais, car une fois engodé de la gueule ……………………………………
7 (LES YEUX DE MAÎTRESSE LĪSA INITIENT LA DÉCOMPOSITION DE L’ESCLAVE)
…………………… je sais, calmez-vous, vous faites ça très bien pour quelqu’un dont c’est la première fois, respirez lentement (non pas par la bouche, par le nez), voilà, c’est de toute beauté, car bien que vous preniez les godes de tous les côtés à la fois, que vos yeux s’effarent devant tant de merveilles et que votre visage ruisselle de toutes ses larmes, je vois à son sourire que la Déesse est satisfaite, et seule nous importe la béatitude de notre reine suradorée, n’en convenez-vous pas? Ah ! et voici le conjoint de Maitresse Līsa qui dépose sur votre plateau dorsal les flûtes de champagne… Elles sont vides pour l’instant, soyez tranquille, mais veillez tout de même à ne pas bouger, à demeurer bien immobile nonobstant les coups de bélier que vous prenez au cul et dans la gueule, 2 mois de votre salaire de cadre moyen ne suffiraient pas à défrayer les coûts de cet ensemble de cristal pur s’il fallait que…………………………………………………………………
6 (LES LÈVRES DE MAITRESSE LĪSA SONT LA JOUISSANCE OUVERTE DES ORDRES QUE L’ESCLAVE DOIT INTÉGRER)
………….. oups! je crois que Lady Vélocirapta vient de connaître un léger étourdissement, un shooter de trop sans doute… elle sera donc contrainte de se retirer de votre cul, et à la voir sinuer dans le sas, nous ne la reverrons pas de sitôt, mais qu’à cela ne tienne, la queue de Maciste – déjà bien joufflue – va s’empresser de colmater la brèche… mais nom de Dieu, avisez un peu cet engin délirant ! On dirait la bite d’un cyclope ! Et qui eut cru que votre anus pourtant si vert, si peu rompu aux noirceurs avancées, aurait avalé d’une traite ce… cette… Mordez bien fort dans le gode de la Déesse si cela peut vous consoler, si, si, elle vous y autorise, mais surtout, gardez la pose, n’allez pas renverser les flûtes, et de grâce, ne vous sortez pas les yeux de la tête…………………………………………………………
5 (LES PIEDS DE MAÎTRESSE LĪSA NE SE DÉNUDENT QUE POUR FOULER LE VISAGE DE L’ESCLAVE)
……………………. ayayaye la Déesse vient d’ajouter 2 billes de fer à mon carcan, elle abaisse le lustre de mon scrotum de sorte que mes couilles distendues élargissent leur mouvement de balancier jusqu’à heurter au passage l’arête de votre nez… Je suis venu bien près de perdre connaissance. M’entendez-vous me plaindre pour autant? Non, mon ami…………………………………………………………
4 (LES MAINS DE MAÎTRESSE LĪSA NE S’OUVRENT QUE POUR SE REFERMER SUR LES VOIES RESPIRATOIRES DE L’ESCLAVE)
………………….je ne me plains pas, la douleur est atroce mais je suis au paradis – et vous y êtes avec moi, inutile de chiâler, votre maman ne volera pas à votre secours – et Bruce Willis non plus – mais sachez ceci : au-delà de cette douleur innommable se trouve une Lumière que vous n’imaginez pas encore, mais dont Dona Diotima va vous donner à l’instant un petit aperçu………………………………
3 (LES SEINS DE MAÎTRESSE LĪSA SIGNIFIENT LA PERFECTION QUI ENVOIE L’ESCLAVE AU NÉANT)
………………..votre micropénis vient de disparaître dans l’énorme paluche de la géante aux mamelles lunaires; vous ne lui facilitez pas la tâche, il faut bien le dire, mais voyez comme elle s’y prend : elle ne vous branle pas à proprement parler, elle vous trait comme une vache, et je suis d’accord avec vous : il fait bon meugler…………………
2 (LE VENTRE DE MAÎTRESSE LĪSA EST LE CODE SECRET DU SEXE DE L’ESCLAVE)
……………………….. plus que deux secondes avant minuit… regardez-moi, ne vous évanouissez pas, regardez-moi…………………………………….
1 (MAÎTRESSE LĪSA EST LE POÈME QUI FAIT DE L’ESCLAVE UN TRADUCTEUR QUI SE TORD DE VOLUPTÉ DANS LES TÉNÈBRES)
….. droit dans les yeux : meuglez, mordez, giclez, bavez, voilà, et rendez grâce à la Déesse qui vous accueille si lumineusement en son éternité au tournant de la nouvelle année, vous ne mesurez pas votre chance, ne regardez pas en arrière, laissez le vieux monde s’écrouler derrière vous, nous traversons maintenant le miroir………………….
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………………………. (bouchons qui sautent cris gloussements bris de cristal ricanements égarés en de lointains couloirs klaxons tonitruants coups de feu dans la rue hurlements de terreur puis le silence la nuit la neige 2022 ou l’an 1 de l’ère Līsarchique)
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Je vous en remercie chaleureusement par avance,
Lisa
Bravo cher ami c’est très bien écris et rend bien hommage a la Déesse qu’est Maitresse Lisa.
Hilarant et jouissif a la fois.. merci pour ce récit ! (Et pour m’avoir donne envie de me procurer un étireur de scrotum ! ^^)